« Grâce aux deux grands dons de la Fondation Total en 2011 et 2015 de 300 000€ chacun, nous avons pu gérer des projets d’envergure. Il aurait été impossible de fabriquer le prototype du robot manchot autrement car il est difficile dans la recherche académique de faire financer une technique complètement nouvelle ou un programme en émergence. C’est justement ce caractère de projet à risque qui a été un argument fort pour Total dans sa décision de nous soutenir.
Grâce au deuxième don de la Fondation Total (en 2015), à la Fondation Jean-Marie Lehn, nous avons pu commander des pièces en toute fin d’année pour que le prototype soit prêt au moment où partait le dernier navire pour Terre Adélie. Sans ce soutien, nous aurions perdu un an dans nos recherches. »